Avec le début de l’invasion russe en février 2022, Stefan a activement participé à l’aide aux réfugiés des régions de l’Est et du Sud de l’Ukraine, a contribué à l’hébergement temporaire des réfugiés, leur fournissant de la nourriture et des produits de première nécessité. Avec ses amis du séminaire et de la paroisse de son père, il a fondé une cour artistique pour les réfugiés, a aidé l’hôpital de la ville de Stryi, où les orphelins de Zaporizhzhia ont été évacués, et a été animateur dans un camp d’été pour les enfants réfugiés dans la ville de Skhidnytsia.
Nous continuons à soutenir Stefan dans ses études au séminaire, également pour l’année académique 2022-2023.
Depuis septembre 2020, Ad Pacem soutient financièrement Stefan dans ses études de théologie.
Stefan est né à Donetsk en 2002 ; il est le troisième fils d’une famille gréco-catholique de sept enfants. Stefan a étudié à l’école de Donetsk jusqu’en 2015. Pendant son temps libre, il aimait jouer au football avec ses amis et apprendre à jouer du violon.
Avec le début de la guerre, la communauté gréco-catholique de Donetsk est persécutée, ce qui signifie qu’elle n’est plus autorisée à se réunir librement et que le fait d’appartenir à cette église peut conduire à une arrestation. La famille de Stefan déménage en Ukraine occidentale. Stefan est diplômé d’une école secondaire chrétienne et se sent appelé à la prêtrise. Il fait une année préparatoire au séminaire de Lviv. Après cela, il décide d’étudier la théologie. La moitié des coûts de ses études est couverte par le diocèse, mais les coûts restants sont trop élevés pour cette famille nombreuse qui recommence une seconde vie et où le père est le seul à avoir un travail.
Depuis septembre 2020, Ad Pacem soutient Stefan à hauteur de 500€ par année d’études.
Dans sa lettre de septembre 2020, Stefan écrit : « Je remercie sincèrement et prie pour tous mes bienfaiteurs d’Ad Pacem pour cette aide qui me permet d’étudier au séminaire. »
En 2021, Stephen a poursuivi ses études. Dans sa lettre, il écrit : « L’année scolaire a été en fait un peu difficile, car il y avait certaines difficultés. En raison des problèmes avec le COVID, nous avons dû rester enfermées au séminaire, ne sortant pas dans la ville plus de 3 mois.
Mais avec cela, j’ai découvert une nouvelle vision de la vie dans la communauté et cela m’a vraiment aidé. Déjà au deuxième semestre, c’était vraiment un peu plus facile, mais toujours pas comme avant la pandémie. » Nous continuons à soutenir Stefan pour la nouvelle année académique jusqu’en juillet 2022.